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Nouriture pour réflexion et prière.

25/07/2010: Maison générale - Rome

 

 

 

Témoignage  de deux participantes au chapitre

 

 

Dimanche, journée libre pour nous reposer un peu après la semaine de travail du Chapitre. Vinght huit d’entre nous sont allées à Subiaco.

 

 

Le but de notre visite était le monastère bénédictin construit à flanc de montagne dans lequel se trouve la caverne dans laquelle Benoît passa trois ans alors qu’il était jeune homme. Un guide nous a tracé une brève histoire du temps passé par Benoît à Subiaco et a éclairé les fresques les plus significatives des églises des différents niveaux. Ce monastère n’a pas été construit du temps de Benoît, mais il est là depuis le dixième siècle.  De son vivant, Benoît en a établi 13 autres dans la vallée, l’un d’entre eux est toujours là ; Sainte Scholastique mentionne qu’il y a en ce lieu 15 siècles de monachisme continu. Nous n’avons malheureusement pas eu le temps de visiter ce monastère, mais nous nous sommes réjouies d’un bon repas dans le restaurant voisin.

Toutes nous avons apprécié la journée et sommes revenues rafraîchies prêtes pour la dernière semaine de Chapitre.

 

                                                       Oonah

                                                       Pour connaître mieux Oonah, click here

 

 

Le 25 juillet 2010, dimanche ensoleillé comme tous les jours depuis que nous sommes en chapitre général à Rome.

Nous sommes allés à SUBIACO, où un guide nous a conduits à travers le monastère, lieu très important pour St Benoit.

Je retiens deux moments précieux où l’histoire d’un homme s’exprime dans l’art principalement byzantin, et j’y trouve nourriture pour ma réflexion et ma prière.

 

  1. Le jeune Benoit, dans la solitude d’une grotte, tenté d’abandonner sa recherche de Dieu, se jette dans un buisson d’épines où il expérimente la présence purifiante de Dieu, expérience qui l’oriente finalement vers l’œuvre de sa vie, la vie monastique, vie qui proclamera la gloire de ce même Dieu pour l’ORA ET LABORA à travers le monde.

 

        2.  François d’Assise – fresque (début du 13° s.) qui le montre encore sans auréole et sans stigmates

L’homme humble qui, un jour (en 1224) sera choisi par Dieu pour le glorifier à travers son œuvre et sa souffrance.

Ce même François, cheminant quelques siècles plus tard sur les traces de Benoit, prendra soin des roses fleurissantes, sortantes de génération en génération de la source d’épines de Benoit.

Les deux moments, intimement liés à travers l’histoire de Benoit et de François, et de leurs communautés, je peux les lier aussi à notre histoire ici au chapitre et au-delà à celle de SION à travers les générations.

 

                                                      Mechthild

                                                      Pour connaître mieux Mechthild, click here

 

 

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